
Êtes-vous remboursée?
La sécurité sociale ne prend pas en charge les séances de sophrologie ou les accompagnement au deuil. Vous pouvez vous renseigner auprès de votre mutuelle.
En quoi un accompagnement va vous aider ?
La perte de votre proche a fait voler en éclat votre univers. C’est bien souvent le chao intérieur sans visibilité ni point d’ancrage . D’autant plus que le souvenir de votre proche peut être douloureux et s’accompagner de culpabilité, de colère, de tristesse ou d’autres sentiments qui demandent à être entendus.
Au cœur de la tempête, il est parfois bien difficile d’y voir clair. Un accompagnement est là comme un phare, celui qui ramène vers la terre ferme quand on s’égare ou que l’on pense ne plus avoir la force de naviguer jusqu’au rivage. Le deuil n’est pas une ligne droite. Il est fait de vagues, de creux, de retours en arrière. Et vous n’avez pas à le traverser seul(e).
La sophrologie va vous aider à stabiliser vos émotions, à comprendre ce que vous traversez, à retrouver un souffle de vie et à vous redéfinir, sans oublier.
La sophrologie vous offre une approche différente de la psychothérapie en vous reconnectant à votre corps.
Pourquoi j'hésite à vous appeler ?
Parce que c’est humain.
Parce qu’on se dit qu’on va tenir encore un peu.
Parce qu’on a peur de ne pas savoir quoi dire, ou de trop pleurer.
Parce qu’on n’ose pas toujours demander de l’aide, surtout quand on est adulte.
J’espère que ce site répondra déjà à quelques-unes de vos questions. Et si vous n’avez pas envie d’appeler, vous pouvez m’écrire.
Je le dis souvent : demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse, c’est un acte de lucidité et de courage. Celui de s’autoriser à aller mieux.
Être accompagné, ce n’est pas changer qui vous êtes. C’est vous permettre de vous (re)trouver après la déflagration de la perte. De faire des choix ajustés à ce que vous vivez, ici et maintenant, tout en cultivant un lien apaisé avec votre proche.
Combien de temps faudra-t-il pour se sentir mieux ?
Bien souvent, dès la première séance, vous pouvez ressentir un soulagement. Le simple fait de poser des mots, d’être accueilli(e) sans jugement, entendu et compris, ça apaise.
Ensuite, cela dépend de ce que vous traversez, de votre régularité et de comment vous intégrez les exercices de sophrologie dans votre quotidien.
Au bout de quelques semaines, on observe un changement, un nouveau souffle s’installe.
Et au fil des mois, vous retrouverez de la clarté intérieure et plus d’autonomie.
Comme pour toute pratique, l’implication est essentielle.
Quelle est votre personnalité?
Mes patients disent de moi que j’incarne ce que je transmets. Ils me décrivent comme étant douce, sans jugement et professionnelle. Ils me sentent présente avec un mélange de force, délicatesse et générosité. Et eux se sentent écoutés, soutenus, enveloppés et encouragés.
La simplicité des mots, la bienveillance, une juste proximité et même un zest de légèreté m’aide à aborder tout en humanité un sujet difficile.
J’offre aussi en partage mon sourire chaleureux.
Quelle est votre différence par rapport à un autre thérapeute?
Chaque thérapeute a sa signature, sa couleur, sa manière d’être en lien. Et ce qui compte vraiment, c’est que vous trouviez la personne avec laquelle vous vous sentez en confiance, à l’aise d’être vous-même, sans masque ni pression.
Ma singularité, je la tiens de plusieurs sources.
D’abord, je respire ce sujet du deuil : je l’ai vécu plusieurs fois, je l’ai étudié, je l’ai accompagné sous toutes ses formes, depuis des années. Mon approche du deuil est global avec une expérience de la maladie, la fin de vie jusqu’au deuil. J’en connais les subtilités, les zones d’ombre et les recoins lumineux.
J’accueille les personnes souvent dans une phase méconnue et solitaire du deuil, entre 6 et 15 mois (voire plus) après le décès, quand l’entourage pense que "ça devrait aller mieux", alors que la vague continue d’emporter.
Je propose une juste proximité, douce et délicate, dans laquelle vous pouvez déposer ce qui pèse, même ce que vous n’avez jamais osé dire. C’est dans cette relation si authentique avec vous que mon accompagnement fait sens.
Le corps est au cœur de mon travail : il porte les traces du vécu. C’est pourquoi j’intègre la sophrologie pour ancrer, libérer, prendre conscience, traverser et apaiser.
Je vous aide à poser un autre regard sur votre histoire, à vous réapproprier le sens, à tisser un autre lien, plus intérieur, avec votre proche décédé.
Pourquoi accompagnez-vous les endeuillés?
Au départ, pour répondre à un appel profond et intime de contribuer aux mieux-être des autres.
Peu à peu, pour m’assurer que les personnes en deuil trouvent l’accompagnement que j’aurais aimé avoir à 20 ans et par après encore. Pour les aider à comprendre d’abord, à mieux vivre les passages tumultueux et, enfin, à retrouver confiance en leur force intérieure insoupçonnée.
Depuis et chaque jour, pour la relation profonde et authentique que nous tissons ensemble et qui donnent tant de sens à mon engagement.