Il y a comme un fil rouge.

A 17 ans, je rencontre mon premier défunt le jour de mon arrivée aux hospices civils de Lyon que je rejoins pour un job d’été. J’ai vécu un moment de grande tranquillité intérieure et de connexion. Un signe, déjà ?

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A 20 ans, ma mère décède d’un cancer. Il y a eu la maladie, les soins palliatifs, l’au revoir, la mort. Un accompagnement que je fais seule. Le deuil s’est figé. Un deuil contrarié, ce sont des années à passer à côté de soi.

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A 37 ans, à la suite du décès de mon père, j’emprunte les chemins de la sophrologie et commence un profond retour sur, en, et chez « moi ».

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J’ai eu envie d’aller plus loin, au-delà de mon expérience personnelle, et de me professionnaliser.

Pourquoi? Pour vous offrir ce que j'aurais aimé trouver à l'époque: un accompagnement soutenant qui m'aurait aidé à comprendre ce que je vivais tout en me proposant des moyens de le traverser. et de me redéployer harmonieusement.

J’ai  ouvert mon cabinet de sophrologie après une formation solide de 4 ans. A cela s'ajoute mon bénévolat en accompagnement en fin de vie, un diplôme universitaire sur le deuil & le travail de deuil et une formation de formateur deuil avec le Dr. Christophe Fauré.  J'ai aussi eu l'envie d'accompagner les endeuillés dès le décès de leur proche en devenant cérémoniante funéraire.

Riche de mes constats pratiques basés sur des années d'accompagnements d'endeuillés, je forme des soignants, des thérapeutes et mes pairs sophrologues pour lesquels j'interviens régulièrement en présentiel et via une masterclass en ligne (voir). Je  rédige aussi des articles sur le deuil pour la revue Sophrologie (voir). Ces compétences combinées à celles d''avocate puis de  juriste s'expriment également dans des formations en droit de la santé, notamment sur la législation de fin de vie.

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C'est l'ensemble de ces compétences et ma confiance inébranlable dans les ressources de chacun qui nourrisent mon approche et ma présence à vos côtés.

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