Le deuil ne demande pas forcément à être accompagné. Or, dans notre société où mort et deuil sont tabous, vous pouvez vous sentir bien seul(e) et incompris(e). La perte d’une personne significative est un boulversement qui peut générer un chao intérieur. Une mort qui arrête une relation de « cœur à cœur », qu’elle soit apaisée ou non, fait vaciller certitudes, croyances, repères et toutes les structures de l'être : corps, esprit et émotions se sclérosent avant de se déchaîner pour, un jour, s’apaiser.

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Le deuil est un processus naturel de cicatrisation. Aussi inconfortable, énergivore et émotionnellement chavirant soit-il, il aide à « absorber » le choc de la perte et à faire face à sa réalité. il nous invite, à un moment, à saluer la relation telle qu’elle était pour accueillir une relation nouvelle avec le défunt, plus intériorisée, et avec soi, car plus rien ne sera comme avant.

 

L’envie de parler, de comprendre ce qui vous traverse, de l'accompagner au mieux, de passer les caps difficiles comme les premières fois sans le défunt peut vous mener à rechercher un accompagnement.

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Un accompagnement global qui prendra soin de vous à tous les niveaux : physique, psychique, émotionnel, identitaire et, pour ceux qui le souhaitent, spirituel... Du corps à l’être que vous êtes.

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Un accompagnement respectueux de votre rythme.

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Les part'en soi

 

Perdre un parent et perdre un enfant in utero ou à la naissance sont des deuils minimisés et bien différents l'un de l'autre et pourtant...

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Perdre un parent quel que soit l'âge de son décès, c'est dans l'ordre des choses. Oui, peut-être, et en même temps ça n'empêche pas la peine et le processus de deuil de s'enclencher. Ca nous laisse orphelin et parfois avec un sentiment de vide et de solitude. Le parent porte une partie de notre passé en lui et nous portons son héritage en nous. Pour certains, il est la sécurité, ce point d'ancrage indéfectible. D'autres pourront se sentir libérés et coupables de l'être. Un deuil qui mérite d'être entendu (voir).

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La perte d'un enfant in utero à la suite d'un avortement, d'une fausse couche, d'une interruption médicale de grossesse ou d'un décès à la naissance est bien souvent banalisée, voire ignorée par l'entourage. Le chagrin et le sentiment d'injustice et toutes les autres émotions du parent en devenir, déjà projeté dans son rôle, n'est pas reconnu. Légitimer ce deuil et l'accompagner peut faciliter la grossesse suivante (voir).

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Mes accompagnements offrent un soin particulier à ces part'en soi.

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